il était une fois...

Un silence, une âme, un court instant, un mélodrame.
Des mots….des lignes que quelques âmes tristes mais néanmoins savantes inventent pour divertir, apprendre, corriger les erreurs que l’on ne veut pas commettre
Les histoires de sens sont pour nombre de gens plus une source d’apprentissage que de rigolades passives et inutiles….
Ce topique faute de développement est sujet sa ces histoires vagabondes
Créez inventez et faites nous profiter de votre langage
De votre art…..
To be continued.................

personne n'ose ce proposer ???
je commance alors a vous de me dire ce que vous en pensez
Il était une fois : expression de mille lunes
Larme de jouissance faite pour couler les mots, une inspiration douce par ces traits mais lourde par son âme
Une petite larme de sang qui puise dans le plus profond d’une personne pour enfin dans un court instant de mélodrame lui donner la jouissance et la satisfaction de la création…
et bien serte coule pour moi petite larme de bonheur
… « Il était une fois une âme blanche
Ame sous les traits d’un frêle ménestrel vagabond de sa destinée, jeune homme a la corpulence peut enviable mais au regard pour ceux qui prenait la pêne de le regarder était tellement doux tellement mélancolique qu’aucune larme n’osait frapper a la porte de ces yeux de peur qu’elle abîme le reflet de ses douces lueurs
Etre fait pour apporter la joie et la béatitude dans les visages des personnes qui lui sont chères et cela par le billet de mots, rimes, écrits et récits qu’il s’acharnait jour après jour de créer
Un jour pour un fait fortuit il ce permit de lire une de ses compositions
Composition par le billet de la quel il fit pleurer une créature qui ce disait être d’un cœur gelé, un homme parmi tant d’autres qui ce disent être de marbre devant un enfant qui souffre la martyr, devant une mère qui verrait l’un après l’autre ses enfants mourir dans d’atroces souffrances
A la fin de sa lecture il ne vit ni larme ni expression sur son visage
Et il ce dit : « pour quoi ?
Pour quoi n’ai-je pas le droit a ces larmes qui coulent devant mes récits ?
Pourquoi ne puis-je pas libérer cette mélancolie qui habite mon corps »
De ces mots ressortit une mélodie ci noire… ci triste qu’une petite fleure de lune ce fanait sous ses yeux a force de l’entendre
Ebahit de ce spectacle peux commode une vieillard qui passait son chemin s’arrêta près de la petite fleure et lui demanda :
« Qui fut assez cruel pour t’infliger une aussi peux désirable torture ? »
La fleure dans ces derniers soupires lui répondit : « ma peine ne vaut rien comparé a celle que le ménestrel qui vous fait tant sourire
Qui vous fait verser tant de larmes de joie, de peine … »
Le vieillard l’interpella en lui disant : « es-ce donc lui qui t’as fais sa ?
Mais pour quoi ? »
Elle lui répondit : « ce n’était pas son voulu
Il était entrain de lire son œuvre quand il ce rendit compte du sors jeté
Une larme ne peut couler sur son visage, et du plus profond de sa tristesse il a chanté une chanson qui tellement chargée de mélancolie ferait pleurer un saule gelé en plein hiver »
Le vieil homme sidéré d’apprendre une telle tristesse ce mit en quête du ménestrel
Il le trouva entrain de conter un récit de joie a une fillette qui avait pleure toutes les larmes de son corps parce qu’elle avait perdue son chemin
A l’arrivée de ces tuteurs la fillette tellement charmée par l’histoire du frêle vagabond ne voulait plus le quitter
Mais arrivé a la fin de son histoire celui-ci ce tourna vers elle et lui dit : « vas ma fille vas !
N’aimerais tu pas que ta mère te fasse un petit gâteau rien qu’a toi ?
Elle t’attends…»
Il lui caressa les cheveux et elle s’en est allée avec son père qui était tout content de retrouver un trésor qu’était sa fille
A la vue de cette scène le vieil homme lui demanda : « était-ce tes mots ou bien n’était-ce rien d’autre que ce que toi-même tu voulais entendre »
Le ménestrel l’ignora, passa son chemin
Mais le vieillard percevra jusqu'à attirer son attention
Quand ce dernier ce retourna le vieillard lui dit :
« N’aimerais tu pas savoir le chemin de tes pleurs ? »
Le vagabond étourdit lui dit en une vois plus tordue de tristesse et d’étonnement que jamais : « d’où sais tu que je ne puis libérer mes chagrins ? »
Le vieil homme répondit :
« Qu’importe le secret, les fleurs sont la pour le bonheur des hommes et une d’elle ma raconté tes misères
Je me propose de t’aider a ce bût car en mes jeunes temps on ma conté l’existence de quatre grands, enseignants de la vie
Quatre connaisseurs qui ont réponse a tout en cette terre »
Le vagabond surpris ne put qu’agréer et le suivre
Le vieil homme lui dit : « connais tu l’histoire de la reine terre celle de la reine eau ainsi celle du roi ciel ? »
Il lui répondit : « je n’ai pas le loisir de les connaître »
Il commença son récit et du même faite leur périple a tous les deux
Il lui parla de la force de la reine terre et l’amena en son entre, « demande lui tes désires elle te guidera vers ce que tu cherches », lui dit-il
Ce qu’il fit sans rechigner
« Maîtresse terre je vous en prie guidez moi de votre sagesse et faite moi découvrir le chemin de mes larmes »
Cette dernière lui dit : « ta présence ici ne te sera pas très utile j’en suis désolée, mais je pourrais te guider vers la maîtresse eau, elle qui coule a flot sur mes territoires est maîtresse de toutes les eaux et compris celles qui régissent ton intérieur »
Déçu de cette réponse il lui offrit comméme un sourire comblant ses espérances
Ils repartirent en route vers la contrée voisine
Aux portes du château de la maîtresse eau
Des murs d’un bleu cristallin orné de mille nuances
En approchant de son trône le ménestrel lui dit : « mes pats ont été guidés a tes portes
Une maîtresse d’âme ma dirigé vers toi en me disant que tu étais savantes des eaux qui coulent
Alors pourrais tu me faire connaître le chemin de mes larmes ? »
« Je ne peu t’apporter la connaissance que tu cherche elle est au fond de toi » lui dit elle
Il lui répondit d’un air de mépris : « crois tu que j’aurais parcouru une existence pour cette quête ci vraiment elle était enfouie en moi ? »
Elle lui répondit : « vas donc chez mon frère ciel, il t’apportera les réponses que tu veux savoir »
Désespéré par son périple ce dernier ne lui offrit même pas l’égard qui lui était destinée et tira sa révérence sans regard en arrière
Et avec son compagnon bientôt devenu mont or il prirent le chemin du roi ciel
Dame lune leur ouvrit le chemin
« Dame lune fidèle servante du roi ciel peu tu me guider jusqu'à ton maître ? » s’écria le vagabond
La lune lui répondit : « ton heure n’es pas encor venue frêle ménestrel »
Il lui répondit : « je ne cherche point mon tombeau mais celui de mes larmes qui par faute de destin me sont cachées »
Lune lui dit : « les larmes ne sont que le fruit du coeure
Et les tiennent ne savent quel chemin prendre ….
Tu en verse tant que celle qui sont tiennes ne veulent offenser l’existence de tes mots »
Maintenant vas ménestrel ton guide est assez savant pour t’enseigner ce qu’il te reste a savoir
Il lui dit : « comment pourrait il m’aider vue que ce n’es que mon compagnon qui ne m’as guère soigné pendant ce périple ? »
Lune lui répondit : « maître temps ne soigne pas
Maître temps fait admettre et fait accepter les choses que l’on ne peut ni voir ni expliquer
Son ombre te suivra tout au long de ton existence
Guidera chaque un de tes pas même ci tu penses être désespéré il y a au moins une âme qui te guide qui éveille ton instinct
Garde sa en tête…. »
Lune s’effaça vieil homme devin poussière au vent
Le vagabond souris à son destin et jouit d’une autre vie, vie de quiétude
Vie de ménestrel……